Les compagnies de taxi en détresse depuis le confinement

Depuis le début du mois de mars, les rues de la région de l’île de France sont presque désertes. Les bruits des klaxons et des moteurs ont trépassé. Déplacements limités, absence de touristes, ou rendez-vous médicaux retardés… L’activité des compagnies de taxis tourne au ralenti. Actuellement, ils ne sont plus qu’une petite poignée a encore travaillé.

Une baisse de chiffre d’affaires

La baisse de chiffre d’affaires effleurerait les 80 % ; autant dire une mauvaise nouvelle pour les compagnies de Taxi.

Certes, au cours de cette crise, certaines compagnies ont tenté de limiter la casse, en offrant un service de livraison de plis et de colis entre particuliers. Par ailleurs, il y a aussi ceux qui ont essayé de permettre au vendeur de continuer leur activité en effectuant la livraison à travers un Taxi SaintQuentin en Yvelines. Les clients peuvent les joindre sur un appel téléphonique ou sur leur formulaire en ligne.

Mais cela reste insuffisant pour compenser le trafic habituel. La pandémie est un sacré trou pour le domaine du transport et pas seulement en France.

En fait, d’après les études, le coronavirus ne sera pas tout de suite déraciné et les clients vont éviter tous contacts possibles dans les bus, les métros ou même les taxis et les VTC.

Ils vont surtout prioriser les modes de circulation individuels. La trottinette, le vélo ou encore leur propre voiture.

Plusieurs emplois menacés

D’après les derniers chiffres, plus 40 000 taxis comptent en France. Et depuis le confinement, il ne reste plus que 3000 taxis qui travaillent dans toute la région. Pour les chauffeurs, les pertes sont énormes. La plupart d’entre eux ne sont plus en mesure d’honorer leurs engagements depuis le confinement.

En plus de la diminution du nombre de places, le nombre de rotations a été réduit depuis le mois de mars. Actuellement, les compagnies de taxi ne réalisent plus que trois voyages au maximum par jour, contre 7 à 8 voyages auparavant.

D’une part, cette situation s’explique par le fait que les gens ont encore peur de prendre les transports en commun et d’être infectés au Covid-19. D’une autre part, ceux qui y sont forcés se précipitent depuis le déconfinement sur les tramways et les bus, en raison des prix onéreux des grands Taxi SaintQuentin en Yvelines, notamment ceux qui sont obligés de prendre au moins 2 taxis pour se rendre au travail.

Par ailleurs, il y a aussi d’autres personnes qui sont impactées et qui ont aussi des charges et des dettes à payer. Même avec les nouveaux tarifs de taxi, les compagnies connaissent toujours une perte, car les chauffeurs ne gagnent plus que le 10 % de son voyage d’auparavant.

Il y a aussi les chauffeurs qui louent des voitures auprès des sites spécialisés et ils doivent acquitter une concession auprès de ces derniers. À cela s’ajoute avec les primes d’assurance qui sont énormément élevées, vu la nature de leur activité et le risque qu’elle induit, il peut payer plus de 10.000 euros par an.

La recette nette quotidienne d’un chauffeur d’un grand Taxi SaintQuentin en Yvelines varie actuellement entre 30 à 50 euros, au lieu de 250 à 300 euros.

Une demande faible pour l’offre de service

Au début du confinement, la plupart des chauffeurs de Taxi SaintQuentin en Yvelines ont voté pour le travail en alternance pour une journée sur deux. Depuis ce vote, ce qui dispose encore du gelhydroalcoolique peut continuer de travailler, ceux qui n’en disposent plus ne peuvent plus continuer. Par ailleurs, il y en a aussi des compagnies qui ont offert leurs services aux personnels des hôpitaux, mais la demande est faible.

Il y en a aussi qui ont proposé le transport des personnels des entreprises, mais la demande est encore plus faible.

Un service de qualité malgré la situation

Malgré le froid, les chauffeurs de Taxi SaintQuentin en Yvelines ne cessent d’être vigilants et de préserver le confort de ses passagers en maintenant une circulation d’air avec un toit ouvrant pour aérer en grand la voiture.

Après chaque course, le chauffeur utilise un spray antibactérien pour nettoyer intérieur et extérieur : boutons de vitre, accoudoirs, poignées et le terminal de paiement, s’il l’a utilisé.

En fait, la voiture est toujours propre et confortable même s’il n’y a que des lingettes pour essuyer les surfaces en contact.

Il y en a même certaines compagnies comme Taxi Saint-Quentin ont installé des sièges 4 piquets verticaux reliés entre eux par 2 piquets horizontaux au-dessus et contre les montants d’appuie-tête. Le tout est vissé et il y a une bâche transparente agrafée sur tout le long.

Il y en a d’autres qui ont posé une plaque de polycarbonate de 3 mm d’épaisseur d’une surface de 160 sur 45 cm. Cela se biffe facilement, mais c’est consistant.

En outre, d’après le décret du 11 mars, aucun passager ne peut s’asseoir à côté du chauffeur. La présence de nombreux passagers est admise aux places arrière. La voiture est aérée en permanence. Les passagers doivent emmener tous leurs déchets. Le chauffeur procède au nettoyage désinfectant de la voiture au moins une fois par jour. Le chauffeur est autorisé à refuser l’accès de la voiture à une personne qui présente des symptômes d’infection au covid-19.

En somme, malgré la situation, les compagnies de Taxi Saint-Quentin en Yvelines ne cessent de proposer une prestation de service de qualité pour préserver le confort et surtout sa santé ainsi que la santé des passagers en utilisant des gestes de barrières plus astucieux et techniques.

En plus, même si leur chiffre d’affaires est en baisse et que les déplacements sont limités, les compagnies de taxi restent toujours disponibles. Il est possible de faire une réservation immédiate en leur contactant depuis un appel téléphonique ou une réservation à l’avance depuis leur formulaire en ligne via leur site web.

Bref, vous voilà maintenant au courant de toutes les informations nécessaires concernant les compagnies de taxi en cette période de confinement. Nous espérons que notre article a pu vous aider à y voir plus clair.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *